C'EST INDIQUÉ ! En mai dernier, quasiment jour pour jour, le P.M-etc et sa ministre des sports annonçaient la fermeture de la piscine Robinson, sacrifiée sur l'autel des économies. Relire, pour mémoire, ceci : Robinson avant de toucher le fond. Un an plus tard le panneau indiquant la direction de la piscine est toujours là, probablement pour que les touristes, attirés par le camping du même nom, y fassent un pèlerinage avant de lever le camp... À moins que la ville n'attende la fin des travaux de Bourges Plage pour changer ledit panneau...
Sinon j'ai aussi trouvé ce qui suit, au cours de mes balades à vélo ...
- Vu sur un boitier EDF, rue d'Auron, le fameux graffiti sur la "libertée"... qui avait également été peint sur le mur d'un hall des Rives d'Auron, aux côtés de l'autruche d'Oznek. Le mur en question a été repeint depuis et le graffiti a disparu, mais les services de la ville ont eu le bon goût de ne pas arracher l'éphémère œuvre d'Oznek.
- Dans les marais, les panneaux directionnels de la passerelle Nérault ont disparu depuis plusieurs semaines. Probablement arrachés pour alimenter le feu d'un barbecue... sauvage. Ou par pur vandalisme. Courant, certes, mais on ne s'habitue pas à cette bêtise...
- Au Val d'Auron, le panneau annonçant la création de la base de loisirs a été décoré de plusieurs affiches, dénonçant l'abattage des arbres, une quarantaine, pour permettre les travaux. La semaine dernière, c'est une affiche annonçant la construction de la Maison de la Culture à cet endroit qui avait été accrochée aux souches d'arbres. De la suite dans les idées !
- Les deux bennes à verre et à papier installées près de la passerelle de la Rampenne, à l'entrée de la Trouée verte, servent régulièrement de dépotoir : bouteilles vides laissées dans des cartons à même le trottoir, poubelles, déchets divers, armoires démontées, fauteuil cassé... On peut y trouver tout et n'importe quoi. Depuis quelque temps une affiche, écrite à la main, probablement par un riverain, rappelle que ce lieu n'est pas une décharge. Sans résultat, pour l'heure ...